
Les mains sales

Les mains sales
Une coréalisation de Julien G. Marcotte et Jani Bellefleur-Kaltush
En Nouvelle-France avant la Conquête, Marie, une esclave autochtone, est la servante du chirurgien de la région. Son quotidien est morne et aliénant. La rencontre avec une fillette qu’elle s’imagine être la sienne lui conférera cependant le motif d’entreprendre des actions radicales.
Festivals et distinctions
Festivals à venir....
Une coréalisation de Julien G. Marcotte et Jani Bellefleur-Kaltush
Scénario Julien G. Marcotte en collaboration avec Jani Bellefleur-Kaltush
Réalisation Julien G.Marcotte et Jani Bellefleur-Kaltush
Distribution
Soleil Launière, Fred-Eric Salvail, Dorothée Gauthier-Nolett et Geneviève Boivin-Roussy
Production Geneviève Gosselin-G.
Distribution et ventes internationales Welcome Aboard
Direction de la photographie Nicolas Poitras-Gamache
Direction artistique Rebecca Dory
Prise de son et perche Devin Ashton-Beaucage
Montage image Pier-Philippe Chevigny
Conception sonore Patrice LeBlanc
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JANI BELLEFLEUR-KALTUSH
Originaire de la communauté innue de Nutashkuan, Jani Bellefleur-Kaltush est réalisatrice, artiste, et traductrice. Elle a réalisé plusieurs courts-métrages dont un primé au Festival imagiNATIVE de Toronto. Neka tshika uiten mishkut est présenté en compétition officielle aux Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM), aux Rendez-vous du cinéma québécois à Montréal et au Festival Regard sur le court-métrage au Saguenay. Son dernier film Tshima it (Amen) est sélectionné dans plusieurs festivals. En 2017, elle a participé à une exposition collective au Musée des Beaux-Arts intitulée Kushapetshekan / Kosapitcikan. En 2022, elle fait La Forge - Édition 2022 et est en pleine écriture sur plusieurs projets.
JULIEN G. MARCOTTE
Julien G. Marcotte est un scénariste et réalisateur évoluant à Montréal. Suite à l’obtention d’un baccalauréat en étude cinématographique, il réalise son premier court-métrage — Louise de 9 à 5 (2021). Le film eut sa première mondiale à la 22e édition du festival Off-courts Trouville et sa première canadienne à la 50e édition du Festival du Nouveau Cinéma à Montréal. Sa démarche artistique combine enjeux de société, interprétation historique et conflits interpersonnels.